J’ai dorénavant sept mois (et huit jours pour être exacte). En un mois, il s’est vraiment passé plein de choses dans ma vie. Par exemple, j’ai connu la stérilisation (heureusement, on n’y a droit qu’une fois dans sa vie canine !), mais aussi mon premier deuil, suivi de mon premier Halloween.
Allez chercher à boire et de quoi grignoter, il risque d’y avoir pas mal de lecture !
Stérilisation
Après s’être beaucoup renseignée, auprès de mon éleveuse, mais aussi auprès de plusieurs vétérinaires, après avoir lu des articles scientifiques, ma Maman humaine a décidé de me faire stériliser avant mes premières chaleurs. A vrai dire, l’opération chirurgicale s’est déroulée alors que j’avais six mois et quatre jours.
Pourquoi stériliser si jeune
Certaines personnes la mettaient en garde car l’Akita Inu est un chien de grande race, sujet à la dysplasie de la hanche et autres problèmes articulaires. Elles avaient peur que mes articulations soient fragilisées par une opération chirurgicale alors que je suis encore en croissance.
Mais il y a aussi des inconvénients à le faire après les premières chaleurs, comme par exemple :
- Le pyomètre (qui peut être mortel), les vaginites et autres soucis génitaux
- Les grossesses nerveuses
- Plus on laisse passer de chaleurs avant la stérilisation, moins il y a de bénéfices concernant la probabilité de développement de tumeurs mammaires
- Une grossesse non désirée en cas de manque de vigilance
D’un autre côté, il semblerait que les chiennes Akita Inu stérilisées à 6 mois soient plus stables niveau réactivité envers les congénères que celles stérilisées ultérieurement. Je n’ai pas vu d’études scientifiques faites à ce sujet, mais quand on y réfléchit un peu, ça semble assez sensé. En effet, si la chienne se fait mettre en compétition par d’autres femelles à cause de ses chaleurs, et ce alors qu’elle n’est pas encore adulte, on comprend facilement qu’elle puisse faire des associations négatives malheureuses. Il en va de même si elle se fait embêter par des mâles en rut un peu trop insistants.
Le rendez-vous
Bref, ma Maman humaine a beaucoup réfléchi et a finalement décidé de prendre un RDV pour me stériliser dès mes six mois. Je suis une chienne assez légère pour ma race (je pesais 16,8 kg le jour de l’intervention), ce qui a eu tendance à la rassurer aussi, car plus on est léger, moins les articulations sont mises à rude épreuve. Pour le reste, ma Maman humaine va faire attention à ne pas trop solliciter mes articulations jusqu’à la fin de ma croissance, par mesure de précaution.
Et puis au final, le jour du RDV, après l’intervention, le vétérinaire m’a annoncé que j’étais sur le point d’avoir mes premières chaleurs, que ça s’était joué à quelques jours près. Ma Maman humaine se souvient d’ailleurs que je me léchais beaucoup la vulve deux jours avant l’intervention. Bref, ça signifie également que mon appareil reproducteur était déjà mature ! Si ma Maman humaine avait attendu mes premières chaleurs, il aurait fallu patienter ensuite trois ou quatre mois supplémentaires, je n’aurais donc pas été stérilisée avant mes dix mois environ.
Déroulement de l’opération
En ce qui concerne l’opération en elle-même, il s’agit d’une chirurgie sous anesthésie générale, donc qui présente forcément une part de risque comme toute anesthésie générale. Mais l’opération est tellement pratiquée par les vétérinaires qu’elle est parfaitement maîtrisée.
J’ai du être déposée à la clinique vétérinaire le matin à jeun. Ma Maman humaine a eu le droit de rester avec moi jusqu’à ce que l’anesthésie commence à faire effet. Vers 17h, elle est venue me chercher à la clinique vétérinaire. Elle avait fait appel à un taxi animalier pour le retour à la maison, car elle redoutait que je ne puisse pas vraiment marcher. Et à vrai dire elle a bien fait, car j’étais encore à moitié dans les vapes ! Et puis marcher avec une collerette de 25 cm de diamètre… J’aimerais vous y voir moi, tiens !

Convalescence
Les bodies à la place de la collerette
D’ailleurs ma Maman humaine avait anticipé en m’achetant des bodies de convalescence afin que je ne passe pas une petite quinzaine de jours avec une « tête abat-jour ». Au final, elle m’a juste laissé la collerette le temps de la soirée, afin de s’assurer que je ne fasse pas l’idiote alors que j’étais encore un peu sous les effets de l’anesthésiant.

Et ensuite, à moi la liberté avec les supers bodies ! En plus j’étais trop mignonne dedans je trouve, n’est-ce pas ? Maman Elodie m’en avait acheté deux afin de pouvoir les laver, un joli body gris et un superbe body rose !
En plus, ils étaient super pratiques car il n’était pas nécessaire d’y toucher pour que je puisse faire mes besoins. Tout avait été parfaitement pensé !


Activité limitée
Pendant deux ou trois jours, je ne pouvais pas faire de balades, j’avais juste le droit de sortir pour faire mes besoins et je devais ensuite rentrer. D’un autre côté, je dormais beaucoup les deux premiers jours, donc ça ne m’a pas vraiment gênée.
Ensuite, pendant une dizaine de jours, je pouvais faire des petites balades, mais en laisse obligatoirement car je n’avais ni le droit de sauter ni de courir. Là c’était un peu plus frustrant. Je peux vous dire que j’étais contente de retourner chez le vétérinaire pour qu’il enlève les fils et que je puisse repartir à l’aventure !
Les bodies de convalescence et la vigilance de Maman humaine ont bien aidé à la bonne cicatrisation. Le vétérinaire a même trouvé ma cicatrice très-très jolie et discrète ! Je vous mets une photo ci-dessous d’ailleurs (j’ai le ventre un peu sale, n’y prêtez pas attention !)

Et évidemment, je n’ai pas changé, je suis toujours aussi choupinette, hihihi !

Bon, j’avoue que la repousse des poils sur le ventre est assez longue. Comme vous le voyez ci-dessous, un mois après l’opération, on voit très bien que la longueur d’origine n’a pas encore été retrouvée !

Mon premier deuil
Parmi les premières fois qui marquent, j’ai aussi du faire face à mon premier deuil…
En effet, chez Maman humaine, quand je suis arrivée, il y avait déjà deux chats séniors : un mâle de 13 ans nommé Azazel et une femelle de 13 ans nommée Naamah.
Azazel était insuffisant rénal depuis des années, mais son état était bien stabilisé grâce à de la nourriture médicalisée donnée depuis ses 7 ans environ. Malheureusement, deux jours après ma stérilisation, Azazel a commencé à vomir plusieurs fois par jour et à perdre l’appétit…
Maman humaine faisait donc l’infirmière pour deux animaux à l’appartement, pour moi en convalescence et pour les soucis d’Azazel.
Présentation de mon feu copain Azazel
Azazel, c’était un grand copain en devenir. Je ne l’aurai côtoyé que pendant quatre mois seulement. Je suis déçue car on apprenait à se respecter lui et moi. On était déjà parvenu à une belle entente, il ne manquait plus qu’à développer de la complicité.
Ci-dessous par exemple, on me voit, à peine arrivée dans mon nouveau chez moi, lui mordiller la queue.

Il était très patient avec moi, il se manifestait vocalement (par des miaulements aigus) quand ça ne lui plaisait pas, et à de rares occasions il me donnait des coups de pattes, mais jamais en sortant les griffes. Il n’y a jamais eu de bagarres entre nous, on ne se comprenait pas toujours encore complètement, mais on s’appréciait.
Le paradis des minous
Malheureusement les reins d’Azazel ont décidé de lâcher complètement cette année. J’aurais tant voulu avoir un copain chat dans mon nouveau chez moi, je suis par conséquent un peu triste.
La photo ci-dessous est la dernière photo (datée du 10 octobre 2024) que ma Maman humaine a prise de moi en convalescence et Azazel à proximité, toujours en bonne santé.
Son état s’est dégradé dès le lendemain soir…

Moment de dire « au revoir »
Maman humaine l’a fait perfuser à deux reprises, une fois trois jours, puis une fois cinq jours, mais non, les reins ne voulaient pas repartir, ils avaient définitivement atteint leur fonctionnement maximal.
Petit Azazel ne mangeait plus, ne voulait même plus boire à tel point que maman l’hydratait un peu avec une seringue (sans aiguille), mais il s’intoxiquait chaque heure un peu plus avec l’urée. Donc Maman Elodie a pris un dernier RDV chez le vétérinaire pour le grand « Au revoir » de la piqure magique. Il était impensable de laisser souffrir ce petit ange noir alors qu’il était condamné et n’avait plus que quelques heures à vivre.
Début du deuil
Il sera parti au paradis des minous le 23 octobre 2024, allongé sur les genoux de Maman Elodie, en ronronnant et dans un état d’apaisement total.
Elle recevra quelques jours plus tard l’urne contenant ses cendres, avec un certificat attestant de la crémation d’Azazel le 31 octobre 2024. Un chat intégralement noir, nommé Azazel, incinéré le jour d’Halloween… par coïncidence. D’ailleurs, en parlant d’Halloween, j’aurai encore plein de choses à dire à ce sujet dans le chapitre suivant !

La question qui subsiste : Naamah va-t-elle enfin se décider à interagir un peu avec moi ? Va-t-elle arrêter de m’observer à distance et parviendrons-nous à devenir copines ? Le temps nous le dira !

Halloween
Avant mon adoption, Maman Elodie s’était toujours dit que le jour où elle aurait un chien, petit ou grand, elle ferait en sorte de partager un maximum de moments avec. Selon elle, avoir un chien et le laisser la majeure partie de la journée seul à la maison, c’est assez triste.
Par conséquent, elle a décidé que le soir d’Halloween, je ferais la fête avec elle !
Qui dit fête d’Halloween, dit déguisement, évidemment !
Mes déguisements
Pour commencer, il était inévitable qu’elle m’achète un bandana spécial Halloween (si vous regardez régulièrement mes entrées blog, vous avez du constater que j’ai déjà une petite collection de bandanas ! Si un jour Maman Elodie est suffisamment motivée, elle fera une liste de ses meilleures adresses pour bandanas taille L/XL !)

Cependant, elle trouvait que ça faisait un peu léger comme déguisement. Elle voulait quelque chose de drôle sans que ce soit trop contraignant pour moi.
Elle m’a donc initialement acheté une petite faucheuse qui se porte comme un harnais.
Malheureusement, malgré son faible poids, la faucheuse n’arrêtait pas de glisser vers la gauche ou la droite, ce qui me gênait pour marcher ou courir.
Maman Elodie a donc décidé de trouver une autre idée. Mais mine de rien, pour les grands chiens, c’est plus compliqué qu’on ne le pense de trouver des accessoires !

Elle a fini par jeter son dévolu sur une paire d’ailes de chauve-souris ! Le fait qu’elles ne soient pas hautes sur mon dos comme la faucheuse leur évitaient trop de prise au vent et donc de glisser d’un côté ou de l’autre.
Et puis, elles se portent aussi avec un système de harnais, donc c’est très peu gênant.


Evidemment, Maman Elodie a forcément craqué et m’a également acheté un jouet spécial Halloween, assorti à mes ailes de chauve-souris, hihihi !
Petite sortie en plein centre-ville de Strasbourg
Maintenant que j’étais équipée, ma Maman humaine n’a plus eu le choix que de jouer le jeu elle aussi. Elle n’avait pas de déguisement, mais quelques habits noirs, une veste en cuir Perfecto, du maquillage façon Black Metal… Et voilà, nous étions prêtes à partir faire la fête et à effrayer les gens autour de nous hehehe !

On aurait pu rester au calme et se contenter d’une petite promenade dans le quartier, mais que nenni, Maman Elodie avait vu les choses en grand.
Elle m’avait familiarisée à la muselière et au tramway dès mon plus jeune âge. Elle m’a donc équipée et nous avons pris le tram en direction de Strasbourg centre !
Le trajet en tramway (avec muselière)
Elle redoutait un peu que je sois surexcitée, et puis c’était aussi la première fois qu’on allait prendre le tramway (aller-retour) un jeudi soir de fête avec le lendemain férié, bref en sachant pertinemment qu’il y aurait plein de monde à l’intérieur.
Mais elle m’a fait confiance et j’ai été exemplaire !
Le défilé au centre-ville
J’ai été tellement sage qu’on a commencé par faire le tour du centre-ville de parts et d’autres, histoire de défiler un peu ! J’ai adoré toute cette attention sur moi, il y avait tellement de gens qui souriaient à ma vue, d’autres qui voulaient me caresser, ou qui se prenaient pour des paparazzis en me flashant comme si j’étais une star !
Bon, en revanche, c’est insupportable tous ces gens qui me prennent pour un Shiba Inu ! Tsss, je sais que je ne suis pas bien haute au garrot, mais quand même hein !
Petite pause au pub
Après avoir marché pendant une bonne heure, Maman Elodie a décidé de se poser à la terrasse d’un pub afin de boire une bière et que je puisse de mon côté observer les passants, les vélos, les voitures et les autres chiens.
Je ne vais pas vous mentir, j’ai passé une excellente soirée !


Et puis je suis restée très calme au pub aussi. Nous sommes ensuite rentrées à la maison (en tramway, toujours) et j’ai fait un gros dodo presque immédiatement. C’est que c’est fatiguant de faire la fête le soir !
Autres grandes premières
En dehors de ces gros moments vécus le mois dernier, j’ai évidemment encore fait plein de nouvelles découvertes. Je vais en mentionner quelques-unes ci-dessous.
Le fromage de Yak
Maman Elodie adore le fromage alors quand elle a vu qu’il existait du fromage spécial pour les chiens, appelé « fromage de Yak« , elle s’est sentie obligée d’en acheter !
A vrai dire, elle en avait déjà acheté quand j’étais encore un chiot avec des dents de lait (en taille S), en pensant que c’était du fromage assez mou. A la réception de l’article, elle a forcément été déçue, parce que c’est dur comme de la roche ! Bref pas du tout adapté aux dents de lait et aux mâchoires des petits chiots.
Par conséquent, ma Maman humaine m’en a racheté plus tard, mais cette fois en taille XL.
Quant à celui en taille S acheté précédemment, il est un peu petit pour ma gueule maintenant. Mais ce n’est pas grave, Maman Elodie va le casser en morceaux avec un marteau et ensuite passer les petits bouts au micro-onde quelques secondes. Apparemment ça fait ensuite de délicieuses friandises croustillantes !

En tout cas, je ne sais pas si vous connaissez, mais moi je trouve ça vraiment trop bon, et puis c’est top pour mes dents, tout en étant un anti-stress naturel grâce à la mastication.
Dans le même style, Maman Elodie m’avait également acheté un bois de cerf tranché en XXL, mais je ne suis pas vraiment fan. J’essaye de récupérer la moelle pendant une minute puis ensuite je me lasse.
Alors que le fromage de Yak, alors là c’est vraiment autre chose !
Mon premier harnais
Maman Elodie s’est également résolue à m’acheter mon premier harnais.
A vrai dire, elle continue à me promener principalement avec le collier, mais elle voulait un harnais pour quand on part en vadrouille dans des endroits boisés qu’elle ne connaît pas.
En effet, dans ce genre d’endroits, je suis en longe soit de 10 mètres, soit de 20 mètres et si je cours un peu vite en arrivant en fin de longe ou si ma Maman humaine met le pied sur la longe pour la bloquer, ça peut me faire très mal à la nuque si elle est attachée à un collier.
Avec le harnais, plus aucun risque !

Pour le harnais, on a choisi un Julius K9. Et là j’entends déjà des gens me dire « Oh non, pas un Julius K9, ça bloque les articulations »
Alors… Il est vrai que les anciens harnais Julius K9, bref les plus connus, avec la possibilité de mettre des patchs sur les côtés, ne sont pas recommandés car ils bloquent le mouvement au niveau des épaules du chien.
Mais Maman Elodie ne m’a pas acheté celui-là, elle m’a acheté un de leurs nouveaux harnais appelé Julius K9 IDC Longwalk. C’est un harnais en Y (qui laisse donc les épaules dégagées), extrêmement confortable, solide et parfaitement adapté aux randonnées et aux longues promenades.
Bref, tout à fait l’usage que nous souhaitons en faire !
Ha, et forcément, on peut aussi rajouter un patch sur ce modèle là, mais sur le dos, pas sur les côtés.
Maman Elodie n’a pas su résister, elle m’a acheté un patch FBI. Pourquoi ? Et pourquoi pas, hein, tsss !

Mon troisième collier
Je grandis vraiment très vite, et depuis mon arrivée à la maison, ma Maman humaine a du changer plusieurs fois mon collier. En fait, au mois d’octobre, elle m’a acheté mon troisième collier.
Mais vous savez quoi ? Depuis mes deux mois, elle m’achète toujours le même, un collier en cuir rose très joli et résistant, avec une deuxième boucle pour pouvoir ajouter une médaille.
Il s’agit du collier Riparo K-9.

Donc Messieurs, Dames, après le collier modèle S (non visible sur la photo mais affiché dans le post de mon arrivée à la maison), après le modèle M (au-dessus sur la photo), voici le modèle L (en bas de la photo). Enfin ! Un vrai collier pour grands chiens !
L’accessoire noir que vous voyez attaché au collier, c’est une lampe de sécurité. Elle se voit à 5 km à la ronde (bien plus efficace que les colliers à LED). Elle est étanche jusqu’à 100 m, résistante aux chocs jusqu’à 100 kg, ainsi qu’aux températures extrêmes (50 degrés).
En mode non clignotant, elle fait aussi office de petite lampe torche (surtout en coloris blanc comme la mienne) car elle éclaire très bien.
Elle fonctionne avec une pile longue durée (remplaçable après 100h ou 250h en fonction du mode utilisé).
Il s’agit de la lampe Orbiloc Dog Dual Safety Light pour ceux qui seraient intéressés.
Les sorties automnales
Je ne sais pas vous, mais alors moi, si je devais choisir entre l’été et l’automne, pas d’hésitation possible, c’est l’automne ma saison favorite !
D’une part, la nature est vraiment magnifique avec toutes ces feuilles mortes (en plus assorties à mon joli pelage), et puis au moins on n’étouffe pas !
En été, il fait beaucoup trop chaud, voilà c’est dit ! De ce fait, je fatigue beaucoup plus vite à cause de la chaleur et on ne peut pas se promener longtemps avant que je demande à Maman Elodie de rentrer.
Au moins là, pas de souci de ce genre ! Et puis évidemment j’ai grandi aussi depuis cet été, je tolère aussi physiquement des promenades plus longues. Tout est fait pour que j’y prenne plaisir comme vous pouvez le voir ci-dessous !



En plus, j’adore renifler le sol humide et creuser ! Vous avez déjà essayé de creuser des trous dans la terre solidifiée par la sécheresse vous ? Eh bien moi oui et… je ne conseille pas.
En automne, même creuser des trous, c’est agréable !



Adhérente à Terre des Chiens
Avec pour idée de me faire découvrir un maximum de choses et de nouveaux copains, Maman Elodie est devenue adhérente à l’association bénévole strasbourgeoise nommée Terre des Chiens. Cette association oeuvre pour la place du chien dans la ville.
C’est d’ailleurs grâce à eux que les chiens sont autorisés dans les tramways de la ville depuis juillet 2023 (à condition qu’ils soient muselés et tenus en laisse courte).
Adhérer à l’association nous permet de profiter d’alimentation à tarifs préférentiels, ainsi que de la location de remorques pour chiens par exemple, mais surtout d’assister à leurs activités.
Pour le moment, Maman Elodie et moi avons assisté à des cours d’éducation canine (ordre de base + renforcement relation chien-humain), donnés par un éducateur canin que je connaissais déjà. Bref, c’était une belle occasion de revoir ce professionnel.
Et puis je me suis fait une nouvelle copine, une petite chienne Golden Retriever qui faisait un peu la timide. Comment je l’ai dévergondée la minus, hihihi ! A force de nous rouler dans la terre, la pauvre est rentrée à la maison toute brune (au grand désarroi de sa maîtresse évidemment, hihihi).
Je vous laisse quelques souvenirs de cette séance de jeu ci-dessous !





Mais Maman Elodie et moi attendons les autres activités avec impatience ! Vous savez qu’en été, cette année, ils ont fait du canoë ? Ouais, ouais ! J’espère bien pouvoir tester ça aussi quand le temps sera un peu plus doux, avec mon humaine adorée !
Idées futures

Et puis vous savez quoi ? A plus de 40 ans, ma Maman humaine n’a toujours pas le permis B. C’est très atypique à son âge. En fait elle était réticente à le passer pour plein de raisons (tout à fait sensées). Mais finalement, à cause de moi (ou « grâce à moi »), elle a commencé à réviser le code. L’inscription en auto-école se fera une fois celui-ci décroché.
Vous avez vu le pouvoir que les chiens ont sur les humains ? Impressionnant, hein !
Elle a un projet particulier me concernant, mais la voiture est obligatoire. Mais chut, je n’en dis pas plus pour le moment. Il faudra patienter et espérer qu’elle décroche le sésame pour le printemps de l’année prochaine. Sinon ce sera probablement reporté, grrr.
A la prochaine les amis !
